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Surgissent alors d'éburnifiés aïeuls d'hemlocks condamnés à hanter sur place comme des fantômes perclus tramant leurs hardes de lichens sur des chicots noirs. Plus loin ce sont des simulacres de combats, des mirages d'accouplements. Des colosses de troncs encroués en des chutes fabuleuses sur des massues monumentales, gigantes écuissées par la foudre, et ces laocoonesques écorchés aux mille bras ophidiens d'un bronze trop torturé, trop furieusement natté pour ne pas faire douter de la prétendue douceur des agonies végétales.
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